Création du Parti Pirate

Publié le par DingOz

Cet article est purement informatif
dont le but est la diffusion du message contenu!

ce n'est pas une révolte mais juste de l'information pour montrer que certains essayent de faire avancer certaines choses! Cava etre le bordel aux prochaines élections, je vais rire! Vive Nicolas Hulot !!!



Alors que les nouvelles dispositions concernant la loi DADVSI entrent progressivement en vigueur, la résistance légale en France et à l'étranger s'organise : en Suède, une société d'assurances propose de couvrir les éventuelles amendes liées au téléchargement, et en France, c'est un parti lobbyiste "pirate" qui vient de voir le jour.

Le 26 juin 2006, excédé par les débats sur les projets de loi DADVSI, hpk (c'est son pseudo) a créé le Parti Pirate.
Scientifique de formation et professeur de mathématiques à l'université, hpk a constaté que, au fil de l'évolution du texte de projet de loi DADVSI et des déclarations ineptes s'ensuivant, pour les majors aussi bien que les artistes "nous sommes tous des pirates".
C'est ainsi que hpk a créé en ce 21 juin 2006, jour de la fete de la musique, un parti "officiel", le Parti Pirate, dans le but de "tenter de représenter tous les internautes - citoyens - élécteurs...".
Les revendications des membres (qui contrairement à ce que pourrait laisser penser le nom parti, ne sont pas des pirates informatiques et n'entendent pas à le devenir) concernent "la libre circulation des informations sur Internet, l'abolition du droit d'auteur, le droit à l'anonymat, le droit au partage libre et sans contraintes de toutes les oeuvres numériques, la supression de la taxe sur les supports vierges et enfin la gratuité de l'accès à Internet". [...]
Echos du net - http://www.echosdunet.net/news/breve_2528_le+parti+pirate+france.html



Le parti Pirate pose comme principes non négociables :

  1. La libre circulation des informations sur Internet.
  2. L’abolition du droit d’auteur *
  3. Le droit complet à  l’anonymat sur Internet.
  4. Le droit au partage libre et sans contraintes de toutes les oeuvres numériques.
  5. La suppression de la taxe sur les supports vierges.
  6. La gratuité d’accés à  Internet.

1 : La libre circulation des informations sur Internet.

Le parti pirate demande à  l’ensemble des acteurs de l’internet Français de garantir un accés non filtré à  l’ensemble des internautes Français au réseau mondial.


2 : L’abolition du droit d’auteur

Le parti pirate demande l’abolition du droit d’auteur et son remplacement par un systéme plus juste prenant en compte la spécifité d’internet. Actuellement nous sommes passés avec la DADVSI d’une protection du consommateur à  une protection unique des ayants droits contre les consommateurs. Nous trouvons cette façon d’envisager le droit d’auteur comme parfaitement contraire aux interets des internautes : nous demandons donc l’abrogation pure et simple de l’ensemble des lois qui définissent la propriété intellectuelle en France.

3 : Le droit à  l’anonymat.

Le parti pirate demande l’inscription dans la constitution Française du droit sur Internet. Ce droit à  l’anonymat doit passer par la mise en place d’une connection à  Internet anonymée.

4 : Le droit au partage libre et sans contraintes de tout les oeuvres numériques

Le parti pirate demande de légaliser tout les échanges via les réseaux P2P qui ne sont pas à  but commerciaux et refuse la mise en place de tout systéme de compensation (taxe sur les abonnements en particulier) pénalisant l’internaute.

5 : La suppression de la taxe sur les supports vierges.

Le parti pirate demande la suppression de la taxe sur les supports vierges

6 : La gratuité de l’accés à  Internet .

Le parti pirate demande la gratuité totale pour les accés à  Internet.



 

Le Parti Pirate appelle ses membres à  respecter la Loi Française et à  ne pas se mettre inutilement en danger.

Nous avons besoin de gens ‘libres’ et non derriére les barreaux.

Notre démarche s’inscrit dans le cadre républicain c’est à  dire que nous demandons l’évolution de la Loi actuelle tout en respectant le contrat social existant : c’est à  dire que nous nous opposons à  toute attitude visant à  le rompre par la force.

Nous sommes contre toute utilisation de moyens informatiques à  des fins destructrices.

Nous entendons avoir une démarche inverse à  celle des lobbys qui ont imposé leur diktat à  nos hommes politiques en usant d’une influence “que la morale réprouve.”


Publié dans Others

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K
mais c'est la révolte !
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